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Chronique du monastère :


février 2019

  

  

Le 2, frère Guillaume participe à Troyes à la fête de la vie consacrée à la maison mère des Oblates de Saint François de Sales. C'est en effet dans la chapelle Notre-Dame de Lumière qu'a lieu conjointement la profession perpétuelle de sœur Jeanne-Delphine. Devant une très nombreuse assemblée et en présence de l'évêque et d'une trentaine de prêtres, les consacrés du diocèse renouvellent leurs vœux après que la professe a prononcé les siens. Après la messe, un temps d'échange permet aux jeunes présents de découvrir des témoins de la vie consacrée et de les interroger sur leur vocation. Frère Guillaume rencontre ainsi au lycée Saint-François-de-Sales quelques collégiens et lycéens. Puis la soirée de louange dans l'église Saint-Nicolas, illuminée et retentissante de rythmes peu grégoriens, achève la journée avec une belle méditation du mystère de la Présentation, par le père Laurent Thibord, curé du centre-ville.


Du 4 au 9, nous vivons une belle retraite communautaire, conduite par Claire de Bénazé, de la Communauté Saint-François-Xavier. « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit », tel est le parcours que nous suivons en quelques jours, version abrégée de celui que découvrent, au cours de leur année de discernement, les jeunes femmes accompagnées par Claire à Meryemana (http://www.meryemana.fr).


Le 16, frère Bertrand, accompagné de frère Guillaume, se rend au Salon du livre russe, qui se tient tous les ans dans les locaux de la mairie du Ve arrondissement de Paris. Sa traduction de L'enfant de sucre fait en effet partie des cinq ouvrages sélectionnés par le jury du prix Russophonie, parmi une cinquantaine de titres. Cette année, c'est L'imparfait du temps passé, de Grisha Bruskin (trad. Christine Zeytounian-Beloüs), qui est lauréat. Mais les contacts pris avec un public très varié sont l'occasion de très bons échos de notre dernière publication, ce qui encourage frère Bertrand à entreprendre une nouvelle traduction…


Du 25 au 1er mars, frère Guillaume est à Uzès auprès de ses parents.

  

Oblature de Mireille Poisson

Fr Bertrand au Salon du livre russe